Idées reçues

Le cancer du poumon fait peur puisqu’il est le plus meurtrier, en raison notamment des diagnostics tardifs ; les personnes touchées vivent mal la fréquente stigmatisation, le déni, la méconnaissance des causes, des symptômes, des effets. Ensemble, luttons contre les idées reçues.

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15 à 20% des personnes atteintes de cancer du poumon n’ont jamais fumé.

Une bonne hygiène de vie est souhaitable, mais ce n’est pas une garantie totale contre la survenue d’un cancer.

Le cancer du poumon est souvent silencieux même s’il arrive que des malades toussent beaucoup.

Le cancer du poumon peut-être guéri, plus de 8000 patients en guérissent chaque année en France !

On peut vivre avec un cancer du poumon sans ressentir de grandes douleurs.

Au même titre que la fatigue ou la perte de poids, l’essoufflement est un symptôme à prendre en compte pour consulter.

Néanmoins, les cancers du poumon chez l’homme commencent à diminuer alors qu’ils sont de plus en plus répandus chez les femmes. Désormais, plus de 30% des diagnostics de cancer du poumon concernent des femmes, soit trois fois plus qu’il y a 20 ans.

Cette maladie n’atteint pas les enfants. Néanmoins, elle touche de plus en plus de jeunes fumeurs et non-fumeurs. L’âge moyen au diagnostic est autour de 65 ans.

Le scanner thoracique est l’examen le plus performant pour le dépistage et la détection précoce des cancers du poumon.

Cette maladie n’induit pas nécessairement une perte de poids.

Fumer la chicha accroît les risques de cancers du poumon (mais aussi ORL, vessie, lèvres…), tout comme fumer un joint de cannabis, qui est 3 à 7 fois plus toxique qu’une cigarette.

C’est l’un des plus fréquents aujourd’hui avec 41 000 nouveaux cas en France en 2017.

Il n’y a pas de petit tabagisme. En ce qui concerne le cancer, la notion de durée est beaucoup plus importante que celle de nombre de cigarettes fumées par jour.

Le sport est bon pour la santé mais n’immunise pas contre le cancer du poumon.

C’est la principale mais il existe bien d’autres facteurs de risque comme l’amiante, le radon…

F.A.Q.

Le cancer du poumon étant asymptomatique, seul un dépistage régulier permettra de le diagnostiquer tôt.

Formation et développement des différents cancers du poumon.

Chaque type et chaque stade du cancer nécessitent des traitements adaptés et différenciés.

Le cancer du poumon concerne des hommes et de plus en plus de femmes ayant consommé du tabac, mais aussi des non-fumeurs.

Pour certains cancers le diagnostic est facile. Pour le cancer du poumon, il est plus complexe et plus long en raison de la difficulté d’effectuer des prélèvements sur cet organe.

Le tabac est le premier facteur de risque, mais il existe aussi des facteurs de risque liés à l’activité professionnelle et à l’environnement.

La recherche s’oriente vers des pistes génétiques complexes associées à des cancérogènes.

De nouveaux produits plus ciblant entraînent moins d’effets secondaires que les chimiothérapies d’autrefois et les soins de support progressent également.

Après la découverte d’une tâche au poumon : scanners de surveillance et investigations complémentaires

Des pistes de recherche à partir de l’immunothérapie

La chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie, les thérapies ciblées et l’immunothérapie

Dépister tôt permet de traiter au mieux la maladie, de la contrôler et même de la guérir.

A partir de 50 ans et pour les populations à risque, par scanner faiblement dosé.

Le médecin peut être amené à proposer un scanner, remboursé comme soin courant.

Pas de signes d’alerte précoce, d’où l’importance du dépistage et la meilleure des préventions est évidemment l’absence de tabagisme.

L’idée que le malade est responsable : il faut dépasser la culpabilisation, ne pas stigmatiser.

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